Isolde A. Lünkraus
MEMBRE ♧ we don't need no education
| Sujet: Isolde - c'est pas que c'est nul, mais ça casserait pas trois pattes à un canard. Mar 1 Mai - 9:05 | |
| MOMENT OF GLORY ♧ présentation | Lünkraus ♧ Isolde, Alana. ♧ ELÈVE « j'aime mieux vivre comme un mendiant avec elle, me nourrir d'herbes et de glands, plutôt que de posséder le royaume d'Otran. » crédit cherrytree. avatar Emily Browning. nom Lünkraus. prénom(s) Isolde, Alana. surnom(s) Comme vous voulez. date de naissance 22 juin 1993. nationalité Allemande. métier Graphiste dans la publicité. année Première. style vestimentaire Souvent assez coloré, elle ne portera jamais que du noir sans une touche de couleur. Peu frileuse, ses tenues sont souvent légères, à manches courtes. Ce n'est pas quelqu'un que l'on remarque pour ses vêtements. taille Un mètre soixante-cinq environ. corpulence Assez fine, et pas vraiment musclée. yeux Marron. cheveux Bruns, longs, ni frisés ni lisses, c'est un peu un bordel capillaire plutôt épais. ce qu'il aime Le dessin, le graphisme, écouter de la musique, les langues étrangères. ce qu'il n'aime pas Faire la cuisine, les sports de raquettes, les gens qui fredonnent, les maths, les animaux. Elle est sinapophobe (les pansements), pyrophobe (le feu) et a le vertige. orientation sexuelle Hétéro. tolérance Légèrement féministe sur les bords ; l'homophobie et le racisme, c'est pas son truc. tics Se mordiller la lèvre supérieure, se gratter le nez quand elle est embarassée. couleur préférée Parme. animal préféré La colombe. sport De la danse (un peu tous les genres, de classique à modern jazz). musique Elle écoute surtout du rock. Dans son Ipod ? Linkin Park, Police, Sum 41, SR-71, Fall Out Boy... Le rap, ça la fait saigner des oreilles (enfin presque). films Braveheart, Gladiator, The Island. livres Elle aime beaucoup la poésie. Elle lit de tout, mais déteste les romans à l'eau de rose. Elle est fan d'Agatha Christie et d'Arthur Conan Doyle. dans sa poche Ses clefs, deux ou trois euros, un crayon style ceux d'Ikea, un mouchoir. scolarité Isolde est une élève relax ; tantôt elle suit, tantôt elle bavarde. Pas abonnée aux retenues, elle se fait parfois rappeler à l'ordre pour bavardage, oubli de travail ou de matériel, mais dans l'ensemble ça va plutôt bien. truc en plus ? Elle imite très bien le canard qui cancane. XD |
NO SELF ESTEEM ♧ caractère Baby you don't wanna know ♪ Sympathique * Curieuse * Hypocrite * Change d'avis très souvent * Égocentrique * Méfiante * Patiente * Persévérante * Énergique (parfois trop) * Drôle * Sans complexe * Calme.
Sympathique, c'est ce que beaucoup de gens disent d'elle. Parce qu'elle est joyeuse. Parce qu'elle sait sourire, et qu'elle le fait beaucoup. Car elle sait mettre les gens à l'aise. Ce n'est pas quelqu'un de blessant. Rassurez-vous, jamais Isolde ne vous balancera ses quatre vérités en face. En revanche, elle le fera derrière votre dos. De plus en plus souvent, sympathique rime avec hypocrite. Car oui, Isolde, derrière ses airs de très gentille fille qui aime tout le monde, a des défauts, et pas des plus beau. L'hypocrisie. Maîtresse des apparences, elle sait vous montrer combien elle vous aime. Même si votre coupe de cheveux lui donne envie de vomir, que vous avez un caractère abominable, des chaussures qui auraient plus leur place dans une poubelle et qu'elle a envie de vous embrocher les yeux avec une fourchette, malgré tout cela, elle se montrera toujours gentille avec vous. Sans jamais vous dire ce qu'elle pense réellement. Pareil pour les réflexions cassantes. Elle n'en dit jamais, mais n'en pense pas moins. Pratiquement à chaque fois qu'il y aura une vanne à faire, elle la fera. Mais dans sa tête. Ainsi, il est très dur de s'apercevoir qu'elle n'est pas toujours sincère, qu'elle oscille entre honnêteté et mensonge. Sauf si bien sûr, quelqu'un la dénonce. Quelqu'un à qui elle confie ses pensées. Mais Isolde n'a pas envie que tout le monde connaisse cette facette de sa personnalité qu'elle-même déteste chez les gens. La seule personne à qui elle dit vraiment tout ce qu'elle pense, est sa meilleure amie. Les autres... c'est délicat. D'une nature plutôt méfiante, elle hésitera souvent avant d'accorder sa confiance aux gens, de peur de se faire berner. Elle connait pas mal de monde, mais les gens qui connaissent l'Isolde hypocrite sont peu nombreux, fort heureusement pour elle. Allant de paire avec l'hypocrisie, la jeune fille est également égocentrique. Autant elle reconnaît en son fort intérieur être quelqu'un de faux, autant elle a beaucoup plus de mal à admettre cet égocentrisme. Mais les faits sont là : elle déteste quand les autres parlent d'eux, et que personne ne parle d'elle. Bien qu'elle ne fasse rien pour, elle aimerait qu'on la remarque plus. Quand d'autres personnes qu'elle se plaignent, elle les déteste. Quand on pose une question générale et que l'on écoute pas en particulier sa réponse, elle vous déteste. Mais jamais elle ne l'acceptera. Jamais elle ne reconnaîtra ce besoin d'attention qui l'anime, pas même aux gens en qui elle a confiance.
Mais on l'aime bien quand même. D'abord parce qu'elle cache ses défauts, mais aussi parce qu'elle est drôle et sans complexe. Le ridicule ? Aucun problème. Elle considère que vivre est absurde ; alors elle n'a aucun problème à se rendre ridicule. Elle ne refuse aucun pari idiot, comme devoir courir dans les couloirs du bahut en chantant ou rentrer dans une salle de sport et en faire le tour en agitant le drapeau d'un pays, peu importe lequel. Faire la danse des canards sur un plongeoir ? Aucun problème. Il faut chanter en même temps ? Toujours aucun problème, Isolde n'a peur de rien. Et quand on lui demande « Mais les gens... », elle coupe la personne et répond qu'elle n'en a rien à faire, ou qu'elle emmerde. Elle est comme ça, très nature. Et c'est pour ça qu'on l'apprécie. Si elle tombe et, qu'au lieu de l'aider, vous vous marrez, elle éclatera de rire avec vous, et ce de bon coeur. On peut rire d'elle, ça lui ferait même presque plaisir, puisque cela signifie qu'on lui prête attention. Et ça, elle aime. On l'apprécie aussi pour son calme. Elle a une grande maîtrise d'elle-même. En public, elle ne pleure pas, elle ne crie pas, elle n'est pas gênée. Elle garde le sourire et continue à se tourner en ridicule. Self-control à fond. Même si un jour, dans une discussion, le ton montre, son ton à elle restera normal. Ce n'est pas celui qui parle le plus fort qui a raison, dira-t-elle, ça montre juste que c'est un sauvage. Sans viser personne, en restant toujours évasive, car l'honnêteté, ça n'a jamais été son truc. Et si on lui demande de préciser sa pensée, elle ne dira rien. Car elle est patiente. Pour tout. Elle peut attendre des heures qu'il se passe quelque chose. Si vous arrivez deux heures en retard à votre point de rendez-vous, elle sera toujours là à vous attendre. Si vous refusez de dire quelque chose, elle peut passer très longtemps à vous regarder droit dans les yeux, sans rien dire, en attendant juste que vous parliez. Et si vous attendez quelque chose d'elle, vous pouvez toujours espérer, mais son calme et sa patience auront sans doute raison de vous. Car, en plus de tout ça, elle est persévérante. Vous parlez d'une chieuse !
Enfin, elle est aussi caractérisée par son énergie. Tantôt c'est amusant, tantôt on a envie de prendre une poêle et de l'assommer avec. Amusant car elle met de l'ambiance, crée de la bonne humeur et de la joie, mais chiant car tout le monde n'a pas cette énergie. Et voir quelqu'un s'agiter sans arrêt comme une pile électrique, c'est fatiguant, à la longue. Dans les soirées, quand elle n'a pas la flemme de venir, elle danse. Sur toute les chansons. Sans arrêt. Elle saute partout, danse, se trémousse, vous tanne pour que vous veniez avec elle. Elle ne semble pas comprendre que les êtres humains ont parfois besoin de faire des breaks. Elle, elle vit à fond, tout le temps.
NO BRAVE NEW WORLD ♧ avis politique Le projet, elle le trouve intéressant. C'est pour elle une manière originale et plus ludique d'aborder un thème aussi lourd qu'une autocratie. Toutefois, elle n'y prend pas part. À cause de son père, qui s'y oppose complètement. Lui trouve que c'est une perte de temps, un jeu ridicule, et que ce n'est pas en jouant qu'on forme des citoyens. Il a donc interdit à Isolde de participer. Malgré de nombreuses discussions, la réponse reste non. « Comme ça, tu verras de l'extérieur comment ça marche, c'est même mieux », a-t-il dit. Évidemment, ça ne fait pas plaisir du tout à Isolde, qui pourtant, obéit. Avec son père, c'est déjà suffisamment compliqué comme ça. Donc elle se tait, et regarde les autres. Ce dont elle a peur, c'est de manquer quelque chose, d'être "out" si elle ne participe pas, mais elle n'a pas le choix. Alors elle croise les doigts pour qu'on ne la prenne pas pour une rabat-joie, et surtout, pour qu'on ne l'oublie pas. Qu'on pense toujours à elle, c'est important.
DEAD MEMORIES IN MY HEART ♧ histoire En italique, le regard d'Isolde sur sa propre vie. * Pour bien connaître Isolde, il faut commencer par ses parents. Son père, issu d'une famille plutôt aisée, exerce le métier de diplomate. Ça impressionne, quand on dit ça, mais en vérité, c'est juste un guignol qui pense faire de la politique en signant quelques papiers qu'il ne lit même pas car les verres de ses lunettes ne lui montrent que son reflet tant il s'aime. Kristian est en effet quelqu'un qui a un égo extraordinairement grand. Il est génial, intelligent, beau, cultivé, et la langue allemande n'a pas suffisamment de qualificatifs pour le définir, tant c'est un personnage charismatique et important. Un jour, à une réunion, il rencontre Maria, avocate. Une femme droite dans ses bottes, qui sait ce qu'elle veut. Elle adora la littérature, et lorsqu'elle ne fait pas d'heures supplémentaires, elle visite toutes les expositions de peintures, de sculptures, d'arts qui existent. Ces deux-là se sont donc bien trouvés. Un an près leur mariage, le couple vit son premier enfant naître. Un garçon, du nom de Tristan, qui très vite, devint turbulent, bavard, agité. Aux antipodes de ses parents, il ne manifestait aucun goût pour la lecture ou la musique classique. Son but, en tant que nouveau-né, était de marcher et de courir le plus vite possible. Ils ont du s'arracher les cheveux avec lui ! Quatre ans plus tard, c'était une petite fille qui naissait. Isolde. Pour donner des noms comme ça à des frères et soeurs, il faut être complètement givré. Cette petite fille était une seconde chance pour le couple Lünkraus d'avoir un enfant parfait, intelligent, une descendance à leur image. Une nouvelle fois, raté. Isolde était encore plus agitée que son frère, qui avait déjà une très grande influence sur elle. Elle aussi voulait marcher, courir, sauter. Apprendre à parler ne fut pas l'une de ses premières préoccupations. Tant pis, s'étaient dit les parents. À l'adolescence, ils comprendraient leur chance d'avoir des parents aussi cultivés, et suivraient leurs traces, afin d'aboutir à une carrière honorable avec pas mal d'argent à la clef. Sauf que Tristan n'est pas le genre de personne à se laisser faire comme ça. À dix ans, le petit garçon avait décidé qu'il serait musicien. Initié très jeune au violon et au solfège, il avait exigé de ses parents de faire de la guitare, caprice qu'on lui avait cédé. De là était née son ambition de devenir guitariste dans un groupe de rock. Je pense que ce n'est pas utile de préciser que ses parents n'étaient pas d'accord. Mais le jeune garçon, s'il avait des ambitions et un caractère différent, avait hérité de la ténacité de sa mère, et ne lâchait jamais rien. En échange de sa promesse de travailler dur pour obtenir son Abitur avec un excellent dossier, il obtint de continuer la guitare. Son cas était réglé, et dans peu de temps viendrait le tour d'Isolde. Il avait été décidé pour elle qu'elle serait comme son père, une diplomate brillante. Pour le moment, elle était encore jeune, et voyait son avenir comme groupie de son frère, qu'elle adorait plus que tout. C'est incroyable les relations qu'on avait. C'était mon grand frère, je m'amusais à le protéger. J'étais sa petite soeur, et il veillait sur moi comme un gros nounours.
« Iz', faut pas que tu te laisse impressionner. Fais ce que tu veux, c'est pas à eux de décider. Moi je te soutiendrais toujours dans tous tes choix. Mais si c'est leur choix, je ne serais pas de ton côté. Tu comprends Iz' ? Je suis là, faut pas t'inquiéter. Je te protégerai toujours p'tite soeur. » lui avait-il dit un jour. Il avait treize ans, elle en avait alors neuf.
Plus les enfants Lünkraus grandissaient, plus leurs relations avec leurs parents se détérioraient, et plus le frère et la soeur se rapprochaient. Ayant compris que Tristan ne se laisserait jamais dicter sa conduite, ils avaient rejeté leurs espoirs sur Isolde, qui semblait plus facile à manipuler, plus docile. Du moins lorsque son frère n'était pas dans les parages. Sauf qu'ils vivaient dans la même maison. C'était sans compter le départ de Tristan. Avec son caractère explosif, il fallait se douter qu'il ne tiendrait pas longtemps. Une fois son Abitur en poche, il refusa les études de droit que son père souhaitait lui payer, afin de se consacrer pleinement à la musique. Il voulait composer, écrire des chansons. Il ne voulait pas être payé pour dire ce qu'il ne pensait pas, c'était ce qu'il disait toujours. Alors un soir, la dispute éclata. Tristan et son père se lancèrent les pires horreurs du monde. Isolde écoutait des escaliers. Son frère grimpa les escaliers, s'enferma dans sa chambre. Une heure plus tard, il venait la voir dans sa chambre. Un sac l'attendait dans le couloir. Isolde savait très bien ce qui allait se passer. Tristan partait. Il l'abandonnait. Elle allait rester toute seule. Elle allait sur ses quinze ans, elle devait rester ici. Lui était majeur, il faisait ce qu'il voulait. J'ai pensé qu'il m'abandonnait ; à ce moment là, je suis redevenue la petite fille qui pleurait, et lui qui me consolait en me disant qu'il serait toujours là pour moi, parce qu'il était mon grand frère. « Iz', j'y vais. Je suis désolé. J'ai pas le choix, je peux pas rester ici. Mais je ne t'oublie pas, jamais. Je reviendrais te chercher quand tu auras dix-huit ans. Tu feras les affiches de mon groupe. Tu feras ce que tu voudras. Tu restes forte hein ? Prends la relève, tiens leur tête. Je t'aime. » Et il était parti. Depuis, jamais il n'était revenu à la maison. Il lui envoyait des textos régulièrement, passait la voir après les cours pour discuter, l'emmenait manger dans son appart ou au restaurant... Ses parents avaient cessé de lui donner de l'argent le jour où il était parti, mais avec tout ce qu'ils avaient fait depuis sa naissance, Tristan vivait tranquillement.
Seulement à la maison, ce n'était plus pareil. Sans l'influence de son frère, Isolde n'avait plus vraiment le courage de dire non à ses parents. Ces derniers avaient bien compris que c'était le moment de montrer qui faisait la loi ici. Elle ne se révoltait plus. Elle discutait, mais finissait toujours par céder. Comme cette histoire de projet de Herr Wenger. Elle avait tenté de protester, de se révolter. Mais finalement, elle était juste une observatrice. L'ambiance chez elle était électrique. Après le cours, elle essayait de retarder le plus possible le moment fatidique du retour à la maison. Lors des repas, elle ne disait rien. Elle écoutait ses parents discuter de leur journée en maudissant ces gens qui transpiraient le mépris et l'auto-satisfaction. Était-elle vraiment leur fille, elle qui n'avait pas pour ambition d'écraser les autres, elle qui voulait simplement amuser les autres en cherchant les choses les plus ridicules qu'elle pouvait faire ? Quant à ses rêves de faire du design publicitaire, elle les gardait dans un coin de sa tête, tout en assurant qu'elle allait entrer dans une institution de politique. Au fond d'elle, la voix de Tristan disait « Rêve toujours », mais jamais elle n'avait osé prononcer ces mots.
WE'RE DISPOSABLE TEENS ♧ et vous ? | PSEUDO ♧ puf Weltinette, Agent W. découverte Momo a parlé de canard. M'en a pas fallu plus. avis Maintenant qu'il y a le truc des dates, c'est impec'. code Batman. autre |
Dernière édition par Isolde A. Lünkraus le Mar 1 Mai - 12:02, édité 4 fois |
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